Sur un coin de table.
En sacrant.
Parce que l'éditeur attend après pour envoyer le roman au montage.
J'haïs ça écrire des C4. Faut non seulement résumer l'histoire, mais la vendre au lecteur. C'est un exercice de marketing. J'suis nulle là-dedans.
(La section "bio" de la C4 est moins souffrante à écrire parce que la pression commerciale est moindre : j'suis pas à vendre! lol!)
Mais bon, après avoir égrené un chapelet, versé quelques litres de sueur et demandé l'aide de Vincent, d'Isa, de Luc ou de toute autre
En espérant que, pour le roman suivant, l'éditeur ait un service des communications qui s'en chargera (ce n'est pas encore arrivé).
Cependant, dans les derniers jours, il s'est produit un phénomène bizarre. L'élan qui m'habitait pour ma réécriture s'est tari. Je n'arrivais plus à avancer. Les doutes me paralysaient. Et dans ma tête, quand j'essayais de me mettre au travail, tournait en boucle des bribes de... résumé!!! O.o
Me trouvant un peu ridicule, je me suis donc mise à écrire la C4 du projet. Puis à la réécrire, la réagencer, la polir, jusqu'à ce que, enfin, j'en arrive au genre de résumé qui m'attirerait, moi. Qui ferait que, dans une librairie, je tendrais la main vers ce roman, même s'il ne relève pas des genres de l'imaginaire.
Et l'étincelle du retravail s'est rallumée. L'élan est revenu.
Comme quoi on écrit toujours les livres qu'on voudrait lire! ;)
Cela dit, vous m'auriez dit qu'un jour je commencerais la réécriture d'un projet avec la C4, je ne vous aurais pas cru! O.o
4 commentaires:
L'indispensable C4... Un élément à toujours bichonner!
@Prospéryne : Oui, mais encore faut-il un minimum de talent pour le bichonnage! lol!
Ça, c'est comme les billets de blogue, ça prend de la pratique! :P
@Prospéryne : J'vois pas de quoi tu parles! :p
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