Vous en faites pas : je suis toujours vivante, les petits cocos de la garderie ne m'ont pas dévorée.
Mais j'suis dans un rush de direction littéraire/ révision de texte post-atelier/ retravail de mes romans, alors j'ai complètement oublié de préparer un billet de blogue.
Mais je vous promets une série de billets sur la direction littéraire pour conclure l'année.
À bientôt!
vendredi 30 novembre 2018
mercredi 28 novembre 2018
Écrivaine en... garderie!
Il y a six mois, la garderie de ma fille m'a contactée. Ils organisent des rencontres avec différents parents afin que ceux-ci viennent parler de leur métier aux enfants et, puisque mon métier est quand même peu commun, ils avaient envie que je vienne les visiter.
Comme mon éditrice venait d'accepter mon projet d'album et qu'on prévoyait le sortir bientôt, j'ai accepté avec enthousiasme!
Seulement, oups, le programme de l'éditrice a été bousculé, l'album a pris du retard (si tout va bien, il verra le jour en 2019) et me voilà, six mois plus tard, sans projet approprié. Ou, plutôt, avec un texte conçu pour cette tranche d'âge, mais pas d'illustration pour l'appuyer. Alors que, à cet âge, les dessins sont primordiaux pour aider à suivre l'histoire.
Pas question d'annuler (ma fille serait fort déçue et puis j'aimerais bien cette occasion de tester mon matériel), alors ce matin, prenant mon courage à deux mains (et laissant mon égo au vestiaire), j'ai dessiné sept itérations de mon lapin Croque-Lune.
Ouf! Le résultat prouve que je ne serai jamais illustratrice, mais j'espère qu'il satisfera un public d'enfants de 4 ans.
Si vous avez pas de billet vendredi, c'est que j'ai échoué et qu'ils m'ont dévorée vivante! :p
Comme mon éditrice venait d'accepter mon projet d'album et qu'on prévoyait le sortir bientôt, j'ai accepté avec enthousiasme!
Seulement, oups, le programme de l'éditrice a été bousculé, l'album a pris du retard (si tout va bien, il verra le jour en 2019) et me voilà, six mois plus tard, sans projet approprié. Ou, plutôt, avec un texte conçu pour cette tranche d'âge, mais pas d'illustration pour l'appuyer. Alors que, à cet âge, les dessins sont primordiaux pour aider à suivre l'histoire.
Pas question d'annuler (ma fille serait fort déçue et puis j'aimerais bien cette occasion de tester mon matériel), alors ce matin, prenant mon courage à deux mains (et laissant mon égo au vestiaire), j'ai dessiné sept itérations de mon lapin Croque-Lune.
Ouf! Le résultat prouve que je ne serai jamais illustratrice, mais j'espère qu'il satisfera un public d'enfants de 4 ans.
Si vous avez pas de billet vendredi, c'est que j'ai échoué et qu'ils m'ont dévorée vivante! :p
lundi 26 novembre 2018
Cher univers...
Cher univers,
Si j'avais voulu écrire régulièrement des lettres de mise en demeure, j'aurais continué à travailler dans des bureaux d'avocats.
En plus, le taux horaire était nettement meilleur.
Sincèrement,
L'écrivaine qui est à la veille de pouvoir se recycler en gestionnaire de chantier.
(Ouaip, les travaux étant terminés, là faut essayer de se faire payer par les responsables du désastre.)
Si j'avais voulu écrire régulièrement des lettres de mise en demeure, j'aurais continué à travailler dans des bureaux d'avocats.
En plus, le taux horaire était nettement meilleur.
Sincèrement,
L'écrivaine qui est à la veille de pouvoir se recycler en gestionnaire de chantier.
(Ouaip, les travaux étant terminés, là faut essayer de se faire payer par les responsables du désastre.)
vendredi 23 novembre 2018
Poésie
Je le dis depuis des années : je suis nulle en poésie.
Je n'y connais à peu près rien, à part quelques textes de théâtre en alexandrins (notamment Cyrano de Bergerac), quelques poèmes classiques en vers et, Japon oblige, les haïkus.
Mes profs ont bien essayé, au cégep, de me présenter la poésie moderne, mais je lui ai faussé compagnie dès que j'ai pu, parce que je ne retirais aucune plaisir de sa conversation, trop confuse pour moi.
Avant même de commencer ma carrière littéraire, j'en suis arrivée à une conclusion : la poésie, ce n'était pas pour moi.
D'ailleurs, ceux qui ont lu mes écrits publiés pourront témoigner du fait que le lyrisme et moi ne nous sommes jamais rencontrés. Les rares fois où j'ai voulu aller le visiter, semblerait que j'me suis trompée de porte et que j'ai cogné chez la mièvrerie. Je pourrais pas vous dire : je ne les distingue pas bien l'un de l'autre.
Tout allait bien pour moi dans mon univers sans poésie, jusqu'à ce que les dames de mon atelier d'écriture me lancent "On aimerait ça un atelier sur la poésie!"
Ouille! Il n'en fallait pas plus pour que mon syndrôme de l'imposteur sorte en grand du placard.
Mais bon, je me suis retroussé les manches et, pour mon premier atelier de poésie, j'ai parlé poèmes classiques, quatrain, tercets, alexandrins, pieds, vers, haïkus, rimes plates, croisées, embrassées...
J'ai dû faire illusion, parce que mes dames en ont redemandé!
J'ai donc appelé Luc Dagenais à la rescousse (parce que lui, il en lit de la poésie et ça paraît quand il écrit sa prose!). Il m'a fourni une pile de recueils de poésie. En parallèle, je me suis renseignée sur la poésie moderne, le slam, j'ai rafraîchi mes connaissances sur les figures de style, les jeux sonores... J'ai lu partout, avec scepticisme, que "si on aime pas la poésie, c'est qu'on n'est pas encore tombé sur le poète qui nous parle".
Je me suis mise à faire des exercices de création poétique trouvés ici et là. Ressortis mes manuels de littérature. Plongé dans les recueils empruntés...
Et là, au bout de presque un mois, y'a eu un déclic. Entre deux poèmes de "Priscilla en hologramme" d'Érika Soucy, puis entre deux pages de "Fourrer le feu" de Marjolaine Beauchamp et plus tard en lisant le texte du slam "Je te suis, tu m'es" de David Goudreault, ma cervelle a commencé à comprendre.
J'ai soudain visualisé les poèmes comme des textes effondrés sur eux-mêmes, des vestiges magnifiques d'une construction disparue. Les suites poétiques devenaient des instantanés un peu flous, des artefacts d'une histoire terminée, qui, mis bout à bout, permettaient presque de retrouver une trame narrative.
Et je me suis mise à tripper!
J'ai enfin l'impression d'avoir ouvert une porte dans mon esprit. On m'avait dit "pour lire de la poésie, faut se laisser flotter sur les mots", mais je crois que je n'avais pas compris. Pour moi, un livre ça se dévorait d'une couverture à l'autre, le plus vite possible. Alors qu'avec la poésie, je dois développer une autre manière de lire, plus calme, plus contemplative, un poème à la fois, en laissant le temps aux images de se développer entre les mots. Et en bavant d'admiration devant tout ce que les poètes arrivent à placer entre les mots!
Ce ne sont toujours pas tous les poèmes qui me plaisent, car ceux avec des longs vers me donnent l'impression d'étouffer, mais je suis prête à accepter que c'est normal. Je ne sais pas si j'ai dépassé le mièvre lorsque je m'essaie moi-même à écrire des vers, mais peu importe. J'ai découvert une nouvelle manière de m'amuser avec les mots et ça, pour moi, c'est toujours merveilleux!
Merci à Luc pour le coup de main! Et à mes dames (et Jean-François) de m'avoir poussée dans cette direction.
Et vous, la poésie, ça vous parle ou pas?
Je n'y connais à peu près rien, à part quelques textes de théâtre en alexandrins (notamment Cyrano de Bergerac), quelques poèmes classiques en vers et, Japon oblige, les haïkus.
Mes profs ont bien essayé, au cégep, de me présenter la poésie moderne, mais je lui ai faussé compagnie dès que j'ai pu, parce que je ne retirais aucune plaisir de sa conversation, trop confuse pour moi.
Avant même de commencer ma carrière littéraire, j'en suis arrivée à une conclusion : la poésie, ce n'était pas pour moi.
D'ailleurs, ceux qui ont lu mes écrits publiés pourront témoigner du fait que le lyrisme et moi ne nous sommes jamais rencontrés. Les rares fois où j'ai voulu aller le visiter, semblerait que j'me suis trompée de porte et que j'ai cogné chez la mièvrerie. Je pourrais pas vous dire : je ne les distingue pas bien l'un de l'autre.
Tout allait bien pour moi dans mon univers sans poésie, jusqu'à ce que les dames de mon atelier d'écriture me lancent "On aimerait ça un atelier sur la poésie!"
Ouille! Il n'en fallait pas plus pour que mon syndrôme de l'imposteur sorte en grand du placard.
Mais bon, je me suis retroussé les manches et, pour mon premier atelier de poésie, j'ai parlé poèmes classiques, quatrain, tercets, alexandrins, pieds, vers, haïkus, rimes plates, croisées, embrassées...
J'ai dû faire illusion, parce que mes dames en ont redemandé!
J'ai donc appelé Luc Dagenais à la rescousse (parce que lui, il en lit de la poésie et ça paraît quand il écrit sa prose!). Il m'a fourni une pile de recueils de poésie. En parallèle, je me suis renseignée sur la poésie moderne, le slam, j'ai rafraîchi mes connaissances sur les figures de style, les jeux sonores... J'ai lu partout, avec scepticisme, que "si on aime pas la poésie, c'est qu'on n'est pas encore tombé sur le poète qui nous parle".
Je me suis mise à faire des exercices de création poétique trouvés ici et là. Ressortis mes manuels de littérature. Plongé dans les recueils empruntés...
Et là, au bout de presque un mois, y'a eu un déclic. Entre deux poèmes de "Priscilla en hologramme" d'Érika Soucy, puis entre deux pages de "Fourrer le feu" de Marjolaine Beauchamp et plus tard en lisant le texte du slam "Je te suis, tu m'es" de David Goudreault, ma cervelle a commencé à comprendre.
J'ai soudain visualisé les poèmes comme des textes effondrés sur eux-mêmes, des vestiges magnifiques d'une construction disparue. Les suites poétiques devenaient des instantanés un peu flous, des artefacts d'une histoire terminée, qui, mis bout à bout, permettaient presque de retrouver une trame narrative.
Et je me suis mise à tripper!
J'ai enfin l'impression d'avoir ouvert une porte dans mon esprit. On m'avait dit "pour lire de la poésie, faut se laisser flotter sur les mots", mais je crois que je n'avais pas compris. Pour moi, un livre ça se dévorait d'une couverture à l'autre, le plus vite possible. Alors qu'avec la poésie, je dois développer une autre manière de lire, plus calme, plus contemplative, un poème à la fois, en laissant le temps aux images de se développer entre les mots. Et en bavant d'admiration devant tout ce que les poètes arrivent à placer entre les mots!
Ce ne sont toujours pas tous les poèmes qui me plaisent, car ceux avec des longs vers me donnent l'impression d'étouffer, mais je suis prête à accepter que c'est normal. Je ne sais pas si j'ai dépassé le mièvre lorsque je m'essaie moi-même à écrire des vers, mais peu importe. J'ai découvert une nouvelle manière de m'amuser avec les mots et ça, pour moi, c'est toujours merveilleux!
Merci à Luc pour le coup de main! Et à mes dames (et Jean-François) de m'avoir poussée dans cette direction.
Et vous, la poésie, ça vous parle ou pas?
mercredi 21 novembre 2018
Douche et cadeaux de Noël
Ah! Quel doux plaisir que de prendre sa douche sur le même étage que celui où on a dormi! (Ça évite notamment d'oublier sa serviette ou sa robe de chambre à l'autre bout de la maison!)
Oui, ça veut dire que les travaux sont finis. Il reste juste à laisser sécher le silicone autour du bain.
Oh et j'veux pas vous faire suer, mais...
J'ai fini mes cadeaux de Noël.
:)
Vive le magasinage en ligne... quand on n'arrive pas à se concentrer sur son travail parce que les bruits de rénovation nous défoncent les tympans! O.o
Oui, ça veut dire que les travaux sont finis. Il reste juste à laisser sécher le silicone autour du bain.
Oh et j'veux pas vous faire suer, mais...
J'ai fini mes cadeaux de Noël.
:)
Vive le magasinage en ligne... quand on n'arrive pas à se concentrer sur son travail parce que les bruits de rénovation nous défoncent les tympans! O.o
lundi 19 novembre 2018
États
État de la maison :
Sale, pleine de cette poussière de gypse qui semble avoir la capacité de rester dans l'air tant et aussi longtemps qu'on essaie de faire le ménage, pour retomber ensuite sur toutes les surfaces.
État de la plomberie :
On n'a toujours pas de bain, mais la douche, les lavabos et la toilette ont été rebranchés... En espérant que tout ait été fait selon les règles de l'art. Le plombier devrait venir jeudi terminer le travail.
État de ma puce :
Épuisée, parce que la semaine l'ayant mise à plat, là elle a pogné un bon rhume et, comme souvent avec les enfants de cet âge, elle s'est rendue malade à force de tousser.
État de l'écrivaine :
Après 31 heures de présence au salon en trois jours, j'ai dû me lever à 2h du matin pour laver des draps et une fillette couverte de vomi... C'est quoi le nom du stade de fatigue où on est trop fatigué pour dormir? Parce que j'en suis là. Ah pis j'ai pu de voix.
Mes plans des prochains jours : me coller contre ma puce et regarder des films en attendant que le rhume, la fatigue et les plombiers finissent par passer.
Et vous, ça va?
Sale, pleine de cette poussière de gypse qui semble avoir la capacité de rester dans l'air tant et aussi longtemps qu'on essaie de faire le ménage, pour retomber ensuite sur toutes les surfaces.
État de la plomberie :
On n'a toujours pas de bain, mais la douche, les lavabos et la toilette ont été rebranchés... En espérant que tout ait été fait selon les règles de l'art. Le plombier devrait venir jeudi terminer le travail.
État de ma puce :
Épuisée, parce que la semaine l'ayant mise à plat, là elle a pogné un bon rhume et, comme souvent avec les enfants de cet âge, elle s'est rendue malade à force de tousser.
État de l'écrivaine :
Après 31 heures de présence au salon en trois jours, j'ai dû me lever à 2h du matin pour laver des draps et une fillette couverte de vomi... C'est quoi le nom du stade de fatigue où on est trop fatigué pour dormir? Parce que j'en suis là. Ah pis j'ai pu de voix.
Mes plans des prochains jours : me coller contre ma puce et regarder des films en attendant que le rhume, la fatigue et les plombiers finissent par passer.
Et vous, ça va?
vendredi 9 novembre 2018
Salon du livre de Montréal
Alors, la semaine prochaine, ce sera le salon du livre de Montréal.
Ce sera aussi le début des travaux dans ma maison afin de remettre ma salle de bain et ma salle à dîner en état. Ah et la gang qui devait venir changer ma porte-patio en octobre va finalement venir faire ça la semaine prochaine aussi... Tsé, tant qu'à être prise dans le bordel!
Voici donc mon horaire de la semaine prochaine :
Lundi
Début des travaux de démolition/reconstruction.
Je gère la puce au milieu du bruit et du bordel.
Mardi
Les travaux de démolition/reconstruction continuent.
Une autre gang vient changer ma porte-patio.
La puce fait le bacon au milieu du chaos.
Mercredi
La puce se repose à la garderie.
Les travaux de démolition/reconstruction continuent.
J'attends que les ouvriers soient partis en break pour faire ma crise du bacon.
Jeudi
Les travaux de démolition/reconstruction continuent.
Au tour de mon chum de gérer les travaux.
Je suis au salon du livre de Montréal :
10h à 11h chez Druide (kiosque 260)
12h à 13h aux Six Brumes (kiosque 100)
13h à 14h chez Druide (kiosque 260)
14h à 15h aux Six Brumes (kiosque 100)
Vendredi
Les travaux de démolition/reconstruction continuent.
Mon chum fait probablement le bacon en cachette à la maison.
Je suis au salon du livre de Montréal :
10h à 11h aux Six Brumes (kiosque 100)
11h à 12h chez Druide (kiosque 260)
12h à 13h aux Six Brumes (kiosque 100)
14h à 15h chez Druide (kiosque 260)
En soirée, (20h30) j'assisterai à la table-ronde des Horizons Imaginaires
Samedi
La maison est en bordel, mais les travaux prennent une pause.
Mon chum gère ma fille.
Je suis au salon du livre de Montréal :
10h à 11h chez Druide (kiosque 260)
11h à 18h aux Six Brumes (kiosque 100)
En soirée (18h) je serai à l'événement Solaris au kiosque d'Alire.
Dimanche
Toute la famille dort au milieu de la poussière de plâtre et du chaos.
Bref, le blogue sera sans doute silencieux la semaine prochaine, mais on se voit au Salon du livre!
Sinon, je vous rejase ici lundi le 19 novembre, si j'ai survécu à ma semaine! O.o (Et non, les travaux ne seront probablement pas encore finis!!!)
Ce sera aussi le début des travaux dans ma maison afin de remettre ma salle de bain et ma salle à dîner en état. Ah et la gang qui devait venir changer ma porte-patio en octobre va finalement venir faire ça la semaine prochaine aussi... Tsé, tant qu'à être prise dans le bordel!
Voici donc mon horaire de la semaine prochaine :
Lundi
Début des travaux de démolition/reconstruction.
Je gère la puce au milieu du bruit et du bordel.
Mardi
Les travaux de démolition/reconstruction continuent.
Une autre gang vient changer ma porte-patio.
La puce fait le bacon au milieu du chaos.
Mercredi
La puce se repose à la garderie.
Les travaux de démolition/reconstruction continuent.
J'attends que les ouvriers soient partis en break pour faire ma crise du bacon.
Jeudi
Les travaux de démolition/reconstruction continuent.
Au tour de mon chum de gérer les travaux.
Je suis au salon du livre de Montréal :
10h à 11h chez Druide (kiosque 260)
12h à 13h aux Six Brumes (kiosque 100)
13h à 14h chez Druide (kiosque 260)
14h à 15h aux Six Brumes (kiosque 100)
Vendredi
Les travaux de démolition/reconstruction continuent.
Mon chum fait probablement le bacon en cachette à la maison.
Je suis au salon du livre de Montréal :
10h à 11h aux Six Brumes (kiosque 100)
11h à 12h chez Druide (kiosque 260)
12h à 13h aux Six Brumes (kiosque 100)
14h à 15h chez Druide (kiosque 260)
En soirée, (20h30) j'assisterai à la table-ronde des Horizons Imaginaires
Samedi
La maison est en bordel, mais les travaux prennent une pause.
Mon chum gère ma fille.
Je suis au salon du livre de Montréal :
10h à 11h chez Druide (kiosque 260)
11h à 18h aux Six Brumes (kiosque 100)
En soirée (18h) je serai à l'événement Solaris au kiosque d'Alire.
Dimanche
Toute la famille dort au milieu de la poussière de plâtre et du chaos.
Bref, le blogue sera sans doute silencieux la semaine prochaine, mais on se voit au Salon du livre!
Sinon, je vous rejase ici lundi le 19 novembre, si j'ai survécu à ma semaine! O.o (Et non, les travaux ne seront probablement pas encore finis!!!)
mercredi 7 novembre 2018
La quête de la barre tendre parfaite
Ok, alors pendant nos vacances, on avait décidé d'aller en camping.
Et comme on avait aussi prévu marcher pas mal, j'avais pensé nous préparer des barres tendres pour emporter.
Déjà, ça voulait dire trouver une recette de barres tendres sans gluten ni avoine (parce que mon chum ne tolère même pas l'avoine certifiée sans gluten, comme 10% des cœliaques).
En plus, question de ménager mon tour de taille et d'éviter à ma puce de se transformer en diable de Tasmanie, je ne voulais pas un truc qui tenait grâce à 1 tasse de miel!
Ni quelque chose de trop salé (parce que, ouais, semblerait que je vais devoir surveiller mon apport en sodium, parce que la génétique paternelle me rattrape).
Oh et, idéalement, la recette pourrait être fabriquée sans noix ni arachides. Parce que la puce entrera à l'école dans un an, alors autant commencer à tester des recettes adaptées...
J'ai donc fait une recherche Google pour des barres de céréales sans avoine ni gluten ni arachides ni noix avec faible sodium et faibles calories...
Ouais, j'étais optimiste.
Après avoir lu près de quarante recettes, j'en suis arrivée à la triste conclusion que si je voulais une barre tendre répondant à mes critères, j'étais mieux de l'inventer moi-même.
J'ai donc relevé mes manches et je me suis mise à l'ouvrage!
Ça a donné ça (inspirée de la barre "Rizgotante" de Mme Labrisky) :
Barres tendres sans... toute!
1 oeuf
½ tasse de purée de dattes
¼ tasse de beurre d'arachides ou d'amandes ou de sésame ou autre remplacement
1 c. à soupe d'essence de vanille (ou d'amande ou d'érable ou de caramel...)
2 tasses de céréales style rice crispies (les miennes sont évidemment sans gluten)
2 c. à soupe de graines de lin moulues
1 tasse d'ajouts divers (fruits séchés, graines, noix, etc) ou 1 tasse de céréales de plus
Mélanger l'oeuf, la purée de dattes et le beurre de noix.
Ajouter tous les autres ingrédients et mélanger.
Étendre sur une plaque à biscuit recouverte de papier parchemin et bien compresser.
Cuire 15 min à 350F.
J'ai testé à date une version céréales seulement, avec beurre d'arachides et essence de vanille. Ce n'était pas très sucré, mais quand même très bon, avec le riz qui avait conservé un peu de croquant. :)
Et comme on avait aussi prévu marcher pas mal, j'avais pensé nous préparer des barres tendres pour emporter.
Déjà, ça voulait dire trouver une recette de barres tendres sans gluten ni avoine (parce que mon chum ne tolère même pas l'avoine certifiée sans gluten, comme 10% des cœliaques).
En plus, question de ménager mon tour de taille et d'éviter à ma puce de se transformer en diable de Tasmanie, je ne voulais pas un truc qui tenait grâce à 1 tasse de miel!
Ni quelque chose de trop salé (parce que, ouais, semblerait que je vais devoir surveiller mon apport en sodium, parce que la génétique paternelle me rattrape).
Oh et, idéalement, la recette pourrait être fabriquée sans noix ni arachides. Parce que la puce entrera à l'école dans un an, alors autant commencer à tester des recettes adaptées...
J'ai donc fait une recherche Google pour des barres de céréales sans avoine ni gluten ni arachides ni noix avec faible sodium et faibles calories...
Ouais, j'étais optimiste.
Après avoir lu près de quarante recettes, j'en suis arrivée à la triste conclusion que si je voulais une barre tendre répondant à mes critères, j'étais mieux de l'inventer moi-même.
J'ai donc relevé mes manches et je me suis mise à l'ouvrage!
Ça a donné ça (inspirée de la barre "Rizgotante" de Mme Labrisky) :
Barres tendres sans... toute!
1 oeuf
½ tasse de purée de dattes
¼ tasse de beurre d'arachides ou d'amandes ou de sésame ou autre remplacement
1 c. à soupe d'essence de vanille (ou d'amande ou d'érable ou de caramel...)
2 tasses de céréales style rice crispies (les miennes sont évidemment sans gluten)
2 c. à soupe de graines de lin moulues
1 tasse d'ajouts divers (fruits séchés, graines, noix, etc) ou 1 tasse de céréales de plus
Mélanger l'oeuf, la purée de dattes et le beurre de noix.
Ajouter tous les autres ingrédients et mélanger.
Étendre sur une plaque à biscuit recouverte de papier parchemin et bien compresser.
Cuire 15 min à 350F.
J'ai testé à date une version céréales seulement, avec beurre d'arachides et essence de vanille. Ce n'était pas très sucré, mais quand même très bon, avec le riz qui avait conservé un peu de croquant. :)
lundi 5 novembre 2018
L'aventurière des siestes perdues
Depuis quelques temps, à mon grand regret, je vous néglige les lundis.
C'est que, voyez-vous, le moment que je redoutais depuis longtemps est finalement arrivé dans la vie de ma puce : elle ne fait plus de sieste!
Cela veut non seulement dire que j'ai perdu mes pauses quotidiennes pendant lesquelles je rédigeais des billets de blogue, buvais un café chaud, regardais un peu de télé, lisais et faisais du yoga, mais en plus je dois désormais gérer une petite fille trop avide d'aventures pour dormir, mais trop épuisée pour vraiment profiter de son temps.
Ouf! J'ai hâte que tout ça se replace!
C'est que, voyez-vous, le moment que je redoutais depuis longtemps est finalement arrivé dans la vie de ma puce : elle ne fait plus de sieste!
Cela veut non seulement dire que j'ai perdu mes pauses quotidiennes pendant lesquelles je rédigeais des billets de blogue, buvais un café chaud, regardais un peu de télé, lisais et faisais du yoga, mais en plus je dois désormais gérer une petite fille trop avide d'aventures pour dormir, mais trop épuisée pour vraiment profiter de son temps.
Ouf! J'ai hâte que tout ça se replace!
vendredi 2 novembre 2018
Opinions et plomberie
Vous devez commencer à le savoir : j'ai assez souvent une opinion sur les sujets d'actualité. Opinion mûrement réfléchie, nourrie de nombreuses lectures, mais prête à se modifier au contact d'arguments solides.
Cependant, s'il y a ben un truc sur lequel je n'ai pas d'opinion, c'est la plomberie.
Bain podium ou bain autoportant?
Robinet à deux poignées ou une seule?
Lavabo d'acier émaillé, de pierre cultivée (kossé cé ça?!?) ou d'acrylique?
Douche en angle, en néo-angle, en demi-cercle, en rectangle?
Or, ces jours-ci, alors que nous sommes en magasinage intensif de matériaux pour refaire notre salle de bain de l'étage (celle dont la douche a coulé et inondé mon plafond de salle à manger), je DOIS avoir une opinion sur tout ça.
Et ça m'énarve!
Tout ce que j'attends d'une salle de bain, c'est qu'elle me permette de me laver et de la laver elle-même sans trop de problèmes.
Pfffff!
C'est rare que ça me dérange d'avoir trop de choix dans un domaine, mais côté plomberie, je prendrais volontiers une seule option : le truc solide et fiable qui ne coulera pas et qui rentre dans l'espace disponible. Oui, en blanc, merci.
Cependant, s'il y a ben un truc sur lequel je n'ai pas d'opinion, c'est la plomberie.
Bain podium ou bain autoportant?
Robinet à deux poignées ou une seule?
Lavabo d'acier émaillé, de pierre cultivée (kossé cé ça?!?) ou d'acrylique?
Douche en angle, en néo-angle, en demi-cercle, en rectangle?
Or, ces jours-ci, alors que nous sommes en magasinage intensif de matériaux pour refaire notre salle de bain de l'étage (celle dont la douche a coulé et inondé mon plafond de salle à manger), je DOIS avoir une opinion sur tout ça.
Et ça m'énarve!
Tout ce que j'attends d'une salle de bain, c'est qu'elle me permette de me laver et de la laver elle-même sans trop de problèmes.
Pfffff!
C'est rare que ça me dérange d'avoir trop de choix dans un domaine, mais côté plomberie, je prendrais volontiers une seule option : le truc solide et fiable qui ne coulera pas et qui rentre dans l'espace disponible. Oui, en blanc, merci.
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