J'ai donc découpé le premier jet de mon manuscrit en fragments, que je réarrange et réécrit tranquillement. (Y'a 4% du travail de fait environ... oui, c'est long, merci, je sais que j'écris à la vitesse d'une tortue rhumatisante, vous m'apprenez rien!).
Dès le début, je me disais que ça m'aiderait d'avoir les morceaux de papier en main, de pouvoir les réarranger physiquement.
En effet, c'est pas mal utile. Je peux les classer conceptuellement, mais aussi visuellement. Je vois tout de suite quand les piles de papier sont trop hautes ici par rapport à là-bas. Je peux prendre un bout de texte, le déplacer et regarder s'il s'insère bien, si les transitions vont couler...
Et, avantage insoupçonné, j'ai désormais le plaisir, quand je termine de réécrire une scène, de pouvoir froisser le bout de papier sur laquelle elle était inscrite et le jeter (au recyclage)!
Heille! C'est tellement gratifiant de froisser du papier non pas parce que ce qu'on vient d'écrire est mauvais, mais bien parce que c'est terminé!
J'pense que pour mes projets suivants, je vais me garder du papier brouillon à portée de la main et en froisser des feuilles quand j'aurai bien travaillé! hihihihi!
Et vous, avez-vous des manières encourageantes de souligner la progression de vos projets d'écriture? Quelque chose de plus gratifiant qu'un décompte des scènes sur votre blogue ou sur Facebook, là! :p
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