vendredi 30 mars 2018

Bonne fête du chocolat!

Cette semaine, j'ai expliqué à ma puce que Pâques, c'était la fête du printemps. Qu'au printemps, les lapins sortent de leur cachette et les poules couvent leurs oeufs pour avoir des poussins. Que c'est pour ça qu'on décore avec des lapins, des poussins et des oeufs. Et que c'est aussi pour ça qu'on se donne des oeufs et des animaux en chocolat.

Ma fille a hoché gravement la tête.

Puce - Noël, c'est la fête des cadeaux. L'Halloween, c'est la fête des bonbons. Pâques, c'est la fête du chocolat.

Moi - Euh... Ben oui, c'est ça.

Pourquoi chercher plus loin? Bonne fête du chocolat!

(C'est drôle, je viens de faire une recherche à propos de Pâques dans mon historique de billet et je me rends compte que, chaque année, je suis toute heureuse de voir arriver cette longue fin de semaine. Eh bien, cette année ne fait pas exception : mon salon est redevenu habitable, la température s'adoucit et je vais être heureuse de passer quelques jours tranquilles avec mon chum et ma puce, puisque nos deux familles ne fêtent pas vraiment Pâques. Coudonc, faut croire que c'est inconsciemment devenu ma fête préférée! ;) 

mercredi 28 mars 2018

La dystopie n'est pas une mode innocente (2)

Il y a six ans, je m'étais un peu indignée d'un article de journal qui présentait les dystopies comme "un plaisir d'adolescents heureux qui vivent dans le confort".

J'avais l'impression que ce n'était pas du tout le cas. Que les dystopies poussaient au contraire les jeunes à agir, à réagir, à se conscientiser tôt aux changements climatiques, aux inégalités sociales, bref au mur de béton vers lequel notre société se précipite à fond de train.

En fin de semaine, des adolescents américains ont envahi Washington pour revendiquer un meilleur contrôle des armes et la fin des tueries dans les écoles.

Sur leurs pancartes, on trouvait des références à Harry Potter (une journaliste les a d'ailleurs surnommés "l'armée de Dumbledore"), mais aussi à Hungers Games et à d'autres dystopies. Bref à des romans où les adolescents, coincés dans des mondes qui ne leur conviennent pas, prennent sur eux de changer les choses.

Je ne suis aucunement surprise.

C'est à ça que servent les livres. C'est, surtout, à ça que sert la science-fiction : à tendre aux gens un miroir déformant de leur réalité, en grossissant les défauts à outrance pour que, enfin, on les voit.

... cela étant dit, maintenant que les jeunes sont conscientisés, est-ce qu'on pourrait quand même publier un peu autre chose? :p

lundi 26 mars 2018

Routine post-salon

Le salon de Trois-Rivières est derrière moi et il fut des plus agréables (et lucratif aussi : on a vendu pas mal de livres). Les travaux de reconstruction achèvent. Il va surtout rester un méga-ménage à faire dans tous les coins de la maison pour chasser la poussière du sablage, mais bon...

Alors que je sirotais mon deuxième thé hier soir, je me suis rendue compte d'un phénomène amusant : avec les ans, j'ai développé une véritable routine pour me remettre de la déshydration, des excès et de la fatigue des salons du livre.

Dans les jours qui suivent, je bois à peu près 12 litres d'eau, thés et jus dilués par jour, pis je me beurre la face, les mains et les lèvres de crèmes hydratantes quasiment à toutes les heures (pourquoi est-ce que les salons sont tous aussi secs? mystère...).

Je bouffe de la verdure avec un accompagnement de verdure (ok, j'avoue, je pourrais être plus sage lorsque je commande au resto durant les salons, mais... comment pourrais-je résister à l'appel de la vraie pizza?) et je me tiens loin de l'alcool (pas tellement parce qu'on en a bu beaucoup, mais surtout parce que je suis déshydratée).

Finalement, je dors. Enfin, un peu plus que d'habitude! ;) Et surtout, surtout, je me gargarise à l'eau salée et je repose ma voix autant que possible. Parce qu'entre les ventes de livres et le papotage (qui a osé dire "potinage"?!? :-O ) avec les collègues, c'est elle la plus fatiguée! hihihihi!

Et vous, avez-vous des trucs ou simplement des habitudes post-salons-du-livre?

lundi 19 mars 2018

Reconstruction

Ma maison sera en reconstruction à partir de lundi, alors je ne sais pas de quoi aura l'air mon horaire.

Histoire d'épargner un peu ses oreilles, j'ai exceptionnellement envoyé la puce à la garderie toute la semaine. Pour ma part, je vais essayer de travailler, malgré le vacarme des outils et les nuages de poussière de plâtre.

Si je survis (les chances sont quand même bonnes), je planifie faire une apparition samedi et dimanche au Salon du livre de Trois-Rivières. J'y serai en compagnie d'Isa Lauzon, au kiosque des Six Brumes.

Passez nous voir! :)

vendredi 16 mars 2018

Mes madames

Je vous en avais parlé : en 2015 j'avais envoyé une bouteille à la mer. C'est-à-dire que j'avais écrit à ma bibliothèque municipale pour leur demander s'ils auraient une clientèle intéressée par des ateliers d'écriture.

Les choses ont été lentes à mettre en place, mais à l'automne 2017, la bibliothèque a finalement obtenu le financement et m'a engagée pour donner une série d'ateliers d'écriture...

À des aînées (ce gentil euphémisme pour "personnes âgées").

En mode "papier et crayon".

Sur le coup, disons que je ne la sentais pas trop cette histoire-là. Je suis plutôt habituée à des clientèles scolaires ou à des écrivains plus jeunes et encore plus technos que moi... Mais bon, je me suis toujours bien entendue avec ma grand-maman, alors j'ai pensé que ce ne serait pas si terrible d'enseigner à un groupe de "madames" et j'ai décidé de foncer...

Et mautadine que j'ai bien fait! :)

Premièrement, mes dames de l'atelier n'ont pas l'âge d'être mes grand-mamans, mais plutôt l'âge qu'aurait aujourd'hui ma mère! (Reality check : ah ouais, j'vieillis, hein!) Et aucune ne mérite le titre de "madame" dans ce qu'il peut avoir de péjoratif et de conservateur!

Ce sont de jeunes retraitées super énergiques, curieuses de tout, ainsi que des lectrices avides, car la plupart sont membres du club de lecture de la bibliothèque. Alors si je leur mentionne La femme qui fuit, La chambre verteRu, Le plongeur et tous les autres phénomènes littéraires des dernières années, non seulement elles savent de quoi je parle, mais en plus elles les ont lus et analysés! Wow, parlez-moi d'une clientèle allumée!!!

En plus, elles ont des bagages diversifiés et super intéressants (je dois souvent me retenir pour ne pas les interroger sur leur vie au lieu de leur expliquer la théorie des narrateurs ou l'art subtil de la description!) et aucune crainte à plonger dans l'émotion lorsqu'elles composent. (Enfin, une fois la première timidité passée, parce que lire les textes qu'on vient de produire, c'est toujours difficile au début.)

Bref, ma série d'ateliers est non seulement une expérience d'enseignement positive avec une clientèle qui me sort de ma zone de confort, mais en plus ils me permettent de nouer des liens avec des femmes qui m'ont montré ce que ma mère aurait pu être, si elle ne s'était pas autant laissée minée par l'anti-intellectualisme.

Sachant que plusieurs de "mes madames" (comme je les appelle désormais avec affection, avec emphase sur le pronom possessif) lisent désormais mon blogue, j'voulais prendre le temps de leur dire aujourd'hui qu'elles m'apportent au moins autant que ce que je donne... comme c'est presque toujours le cas avec les ateliers, quoi!

Merci à vous Lorraine, Adèle, Jocelyne, Christiane, Nicole, Lynda, Micheline et Gisèle! Et puis Lise et Diane aussi, mes dernières venues. On se voit bientôt! :)

mercredi 14 mars 2018

Distinction linguistique genrée

Je réfléchis beaucoup ces temps-ci aux questions de distinction linguistique genrée.

À l'emphase sur le genre que certaines personnes réclament.

On rejette l'usage du masculin comme neutre englobant, demandant plutôt un vrai neutre.

On veut des mots qui vont bien marquer le genre d'une personne. On veut même des mots qui vont marquer son absence de genre défini.

On voudrait accorder les verbes de manière à toujours savoir si la foule qui marche compte plus de femmes que d'hommes et l'implication éventuelle d'individu sans genre défini.

Plus je regarde cette recherche de distinction, plus je me sens mal à l'aise. L'égalité, dans ma tête, présuppose une indifférenciation. Un homme, une femme, un non-binaire, peu devrait importer.

Or, pour que cela importe peu à la personne qui nous considère (pour un emploi, une amitié, un tour de parole, etc), peut-être qu'il faudrait que ça nous importe peu à nous-même? Qu'on accepte de disparaître dans le groupe, de laisser notre genre de côté.

On sait bien qu'une foule d'un million de marcheurs comptera sans doute aussi des marcheuses, des trans, des non-binaires. L'important, ce n'est pas qui ils sont, mais le fait qu'ils marchent, tous ensemble, dans la même direction.

Non?

lundi 12 mars 2018

Et maintenant le frigo!

L'an passé, quasiment à pareille date jour pour jour, mon congélo s'est mis à ne plus congeler.

Comme il était plein de bouffe, on a appelé un réparateur, d'un coup que, contrairement à ce qui était arrivé pour ma cuisinière (si quelqu'un retrouve le billet où j'en parle dans le foutoir qu'est ce blogue, ce serait génial! lol), la réparation coûte moins cher qu'un demi frigo neuf.

Coup de chance : un frigo semblable coûtait 1500$. La réparation 500$. Fidèles à nos valeurs (et au fait que ça nous évitait ben du trouble), on y est allés pour la réparation.

Et hier soir, me semble que le frigo a fait le même bruit suspect qu'avant de se mettre à ne plus congeler. Merde! Pas déjà une reprise du chant du cygne!?! J'ai pas déjà assez de trucs qui vont pas avec la maison, faut ajouter le frigo?!? (Coudonc, kossé j'ai fait pour avoir ce karma-là ces jours-ci? O_o)

Et pis... dites-moi pas qu'on a payé pour une réparation qui aura duré seulement un an?

Si oui, vous pouvez être sûrs que c'est la dernière fois qu'on répare au lieu de remplacer.

... et ma fille va définitivement grandir dans une planète-dépotoir envahie d'électros trop chers à réparer! :(

vendredi 9 mars 2018

Versions

Ceux qui ont reçu des textes de ma part dernièrement ont manifesté un peu de surprise. Je crois que j'avais déjà la réputation de travailler longtemps mes textes avant de les soumettre, mais tous mes éditeurs ont levé des sourcils étonnés en recevant des fichiers intitulés NouvelleV9 ou même AutreNouvelleV11. Neuf ou onze versions pour des textes de moins de 5000 mots? Tu fais du zèle, Gen, m'a-t-on dit.

(Je crois que certains sous-entendaient "Tu vivras jamais de ta plume à ce rythme-là!" et/ou "Tu peux ben chialer que tu écris pas vite!")

Cependant, cette multiplication des versions de texte s'explique tout simplement par ma nouvelle manière de considérer les versions, inspirée de mon chéri.

Voyez-vous, quand un programmeur écrit du code informatique (attention : ceci est une vulgarisation horriblement simplifiée du vrai procédé), s'il décide de le modifier ou d'abandonner une version qui ne le menait nulle part, il crée un nouveau fichier qu'il appelle une "branche" et il indique à quel moment il a bifurqué de son code original, puis il continue à travailler à partir de ce point.

Les écrivains ont plutôt tendance à travailler de manière linéaire. (Entk, c'est comme ça que moi je travaillais auparavant). On écrit le texte en entier une fois, puis on crée une nouvelle version qu'on retravaille, puis une autre version, etc, jusqu'à ce qu'on soit satisfait du résultat (ou que la date de tombée soit passée). Alors dès qu'une bifurcation importante se présente, par exemple l'idée de tuer un personnage plus vite que prévu ou, au contraire, de le laisser survivre, on a tendance à figer. Ben là, pense-t-on, si je pars dans cette voie-là et que c'est pas la bonne, je vais avoir des semaines de texte à effacer.

Et s'il y a un truc que je pense universel chez les écrivains, c'est que ça nous écoeure d'effacer du texte.

En m'inspirant du système de versions et de branche des programmeurs, j'ai contourné le problème. Désormais, quand je sens que le texte m'amène sur une voie X ou Y qui n'était pas tout à fait prévue, je sauvegarde mon fichier en tant que nouvelle version (pis si j'y pense, j'écris dans la description du fichier quel est le point de bifurcation) et j'écris. Je regarde où ça m'entraîne.

J'aime? Je continue et on dirait juste que j'ai changé de numéro de version pour le fun. Pis au bout d'un moment, j'ajuste mon plan (sous forme de nouvelle version) pour refléter ma nouvelle avenue.

J'aime pas? Pas de problème : j'abandonne le texte en cours de route. J'ai rien à effacer ou à détruire. Je récupère la version du fichier pré-bifurcation, je l'enregistre en lui donnant un numéro de version plus récent et, hop, je suis repartie.

Pour les projets de longue haleine, je teste mes bifurcations sur plan avant de m'y lancer, mais le principe reste grosso modo le même (ce qui fait que j'ai désormais des dizaines de versions de plan! hihihihi!)

Oh, je suppose que les logiciels de scénarisation hot genre Scrivener et compagnie ont des outils pour gérer ces tâtonnements narratifs et versions multiples. Cependant, comme je n'aime pas travailler avec autre chose que Word (trop de sources de distraction possible en découvrant les fonctions d'un nouvel outil), cette manière minimaliste fonctionne bien pour moi.

Et vous, comment gérez-vous vos versions?

mercredi 7 mars 2018

Enfin distribués!

Ce billet était prêt pour lundi, mais j'ai dû retarder la publication, parce qu'on attendait l'annonce officielle... Voilà, c'est chose faite, alors je peux partager ma joie avec vous :

Les Six Brumes sont distribués à nouveau!!! :)  :D

Ceux qui comprennent de quoi il retourne peuvent commencer à fêter tout de suite. Les autres, lisez la suite.

Ce qu'on appelle communément la "chaîne du livre" se compose de plusieurs acteurs. Essentiellement, l'auteur écrit, l'éditeur choisit, peaufine et fait imprimer le livre, le distributeur et ses diffuseurs se chargent d'entreposer les livres, de les faire connaître aux libraires et de les acheminer aux librairies, d'où ils sont vendus aux lecteurs.

Il y a quelques années, le distributeur des Six Brumes a mis fin à leur contrat. (Sans doute parce qu'on ne vendait pas assez, mais je n'ai pas les détails).

Depuis, la maison d'édition devait être très très très (oui, j'en ai mis trois volontairement) créative pour faire parvenir ses livres à ses lecteurs, car un éditeur non distribué a du mal à se tailler une place en librairie, les bibliothèques scolaires ne peuvent pratiquement pas leur passer de commande et les bibliothèques publiques se font parfois tirer l'oreille.

Bref, il y a eu une période difficile pour l'éditeur (et pour les auteurs) en plein au moment où les projets commençaient à se multiplier et où le noyau dur des auteurs de la maison (dont je suis) atteignaient un haut niveau de professionnalisation. Je vais pas vous mentir : pour ma part, la tentation d'arrêter de collaborer avec la maison a parfois été forte, parce que travailler sur un manuscrit en ayant peur qu'il ne trouve jamais son chemin jusqu'aux tablettes des librairies et des bibliothèques, c'est pas la joie. Sauf que y'avait ben juste les passionnés des Six Brumes pour embarquer dans nos projets de fous. (Un livre dont vous êtes le héros? Une anthologie de nouvelles d'horreur? Une étude sur le milieu de la littérature de genre? Qui d'autre aurait voulu toucher à ça? Hihihihihi!) Alors, comme d'autres, je me suis accrochée.

Et, enfin, cette période de vache maigre semble être derrière nous. Un nouveau distributeur (Socadis) a pris les Six Brumes sous leur aile, par le biais d'un diffuseur, Nomade... au nom de très bon augure pour un éditeur dont les écrits font voyager les lecteurs par-delà toutes les frontières, même celles du réel! ;)

Ce matin, je sais qu'on est une gang d'auteurs à pousser un grand soupir de soulagement à l'idée que nos prochains projets trouveront plus facilement leur chemin jusque dans les mains des lecteurs! (Et j'espère qu'il y a des lecteurs heureux de penser que se procurer les livres des Six Brumes sera désormais plus aisé!)

Longue vie à Nomade, à Socadis et aux Six Brumes!!!

vendredi 2 mars 2018

RIP puits de lumière

C'était en 2007. Vincent et moi, travailleurs depuis quelques années, voulions sortir de notre trois et demi pourri et magasinions des maisons.

Dans notre budget, il y avait surtout des petites maisons, bungalow ou cottage à deux chambres, pas de garage. Des maisons coquettes, d'une vingtaine d'année, situées dans des banlieues dortoir un brin éloignées, dépourvues d'arbre.

Puis il y a eu cette maison-là. Un quartier hyper dortoir, mais pas trop éloigné du "coeur" de la Rive-Sud, avec un parc pas loin et des arbres sur tous les terrains. Une grosse maison avec trois chambres et un garage, pas trop âgée, mais laide, mes amis, laide! Du bleu pâle partout, avec des moulures bleu poudre, pis des planchers en marqueterie jaunie! Une salle de bain rouge, grise et pêche! Du tapis dans les chambres! Bref, une horreur.

Mais il y avait aussi une lumière magnifique dans le salon, gracieuseté de deux puits de lumière. Une lumière qui a grandement contribué à notre coup de cœur, bientôt nourri par la gigantesque cuisine et la vaste salle au sous-sol avec son plafond de neufs pieds. Un espace pour cuisiner, un espace pour s'entraîner et de la lumière toute la journée. On était conquis.

On s'est relevé les manches, on a peinturé, arraché des tapis, fait teindre les planchers, peinturé encore... Et puis la maison est vraiment devenue notre chez nous, notre oasis intime où la lumière entrait même quand les rideaux étaient fermés, où on pouvait dormir sur le sofa dans une flaque de soleil et, parfois, le soir, faire coucou à la lune simplement en levant la tête vers le plafond.

C'est fini. Après sept ans de bonheur, puis trois ans de problèmes, les puits de lumière ont été condamnés hier. Le salon, et toute la maison, s'est assombri. :'( Je sais, c'est anecdotique, y'a des problèmes ben pires que ça dans la vie, mais... ben pour le moment ça m'attriste. Je sors pas beaucoup, alors le soleil livré directement sur mes genoux pendant que je lisais, c'était précieux!

Je prévois l'ajout de lampes pour compenser et, une fois les travaux terminés, je changerai un peu la décoration pour insuffler davantage de couleur à la pièce, mais c'est quand même une époque qui se termine.

Oh, et je prends une note mentale : le jour où on voudra vendre, faudra que notre maison soit regardable, parce que les puits de lumière ne seront plus là pour séduire les acheteurs! :p Remarquez, ils ne seront plus là pour leur couler dessus non plus! :p

Avez-vous déjà modifié votre logis ou subi une modification importante de votre demeure? Est-ce qu'on s'y habitue vite? Parce que pour le moment, j'arrête pas d'essayer de voir le ciel à travers le plafond!