lundi 26 avril 2021

L'épée et la relique

Bon, ben, coudonc, on dirait que je suis partie pour enfiler les billets! Hihihihi!

Il y a quelques années, j'avais créé une histoire (L'épée et le templier) mettant en vedette une épée magique douée de raison. Dans les histoires de fantasy classiques, on appelle ce genre de lame des "épées intelligentes"... mais, bon, mon épée à moi, Dania, est un peu nouille. 

Je ne pensais pas nécessairement en faire un personnage récurrent, mais ce fut très drôle d'écrire sa première aventure et j'ai donc décidé de récidiver, avec les encouragements de la République du Centaure. Pour lire ce second épisode (L'épée et la relique), c'est ici

Et pour vous rafraîchir la mémoire (ou découvrir Dania), la première histoire est là


mercredi 21 avril 2021

Congrès Boréal 2021 (et prix Aurora-Boréal)

C'est toujours pareil : je trouve matière à faire un billet de blogue, pour la première fois depuis quelques semaines, et puis, boum, le jour même ou le lendemain, voilà que je reçois des nouvelles nécessitant un second billet. Je trouve ça plate, parce qu'à chaque fois il me semble que j'ai l'air d'avoir repris un rythme de publication soutenu... mais c'est juste une illusion! Et j'aime pas décevoir mon public! hihihihihi!

Cela dit, bon, je viens de battre un record personnel cette année, alors je ne peux pas laisser passer ça. Voyez-vous, les finalistes des Prix Aurora-Boréal sont connus et me voilà en nomination dans TROIS catégories : meilleure nouvelle (Parler aux murs, Solaris #213), meilleur ouvrage connexe (Le Chasseur et aux noirceurs, éditions des Six Brumes) et meilleure fanédition (pour ce blogue!). Dans chaque catégorie, je suis en belle et bonne compagnie, mais ça ne m'empêche pas d'espérer. ;) 

Si vous voulez voter (pour moi... ou d'autres, hein ;) il vous faut d'abord payer ici votre cotisation de 10$ à la corporation SFSF Boréal (la gang qui organisent le prix et le congrès), voire dépenser 350$ pour devenir un personnage dans le prochain livre de Patrick Senécal ou de Chrystine Brouillet, puis aller là pour voter. (Oui, les Prix Boréal sont désormais en mode Star Académie : faut payer pour voter. Je vous promets de ne pas chanter la chanson-thème pour autant si je gagne! lololol!)

Les prix seront remis pendant le congrès Boréal, les 1er et 2 mai prochain, qui est en mode virtuel cette année, mais concentré sur une seule fin de semaine, comme un congrès traditionnel. Au programme : cinq tables rondes gratuites et une remise de prix, ainsi, probablement, qu'un paquet de conférences Zoom parallèles pour les gens qui se sont ennuyés les uns des autres et qui veulent reproduire l'effet "lemming" des sorties pour dîner pendant le congrès, la peur d'être refusés dans un resto en moins. 


Luc Dagenais, aka "l'amoureux", est l'un des invités d'honneur du congrès et participera à une table-ronde le dimanche à 14h sur le thème "Explorer les corps pour penser le futur" avec Chris Bergeron, Karoline Georges et François Vigneault. 

Pour ma part, c'est le samedi à 15h30 que vous pourrez m'entendre, en compagnie d'Élisabeth Vonarburg, J.D. Kurtness et Su Sokol, discuter de la manière de "Penser l'Après en science-fiction" afin de sortir de la dystopie pour aller vers des textes plus lumineux. J'ai hâte d'entendre ce que les autres auront à dire à ce sujet!

Bref, ça bouge dans le milieu de l'imaginaire à l'approche de notre rendez-vous annuel! Joignez-vous à nous si ça vous dit! 

lundi 19 avril 2021

De l'acceptation des manuscrits

Quand on rêve de devenir écrivain, on s'imagine recevoir un jour, par la poste ou par courriel (ou même par téléphone), un message disant "Nous avons lu votre texte avec intérêt et voulons le publier". Ça arrive. En tant que collaboratrice de revue et maintenant co-éditrice, j'en ai envoyé des courriels comme ça. 

Sauf que, personnellement, je n'en ai jamais reçu! 

J'ai deviné que ma première publication serait acceptée quand on m'a écrit "Ce texte est-il encore disponible?". 

Par la suite, mes nouvelles étaient souvent reçues avec un "Ton texte a été envoyé à la direction littéraire, t'étonne pas si on te contacte" ou "J'ai juste une copie papier, est-ce que je pourrais avoir la version word?". (C'est le désavantage de bien connaître les équipes éditoriales des endroits où vous publier : on laisse tomber vite les formalités.) Mon premier roman, pas encore terminé, a quant à lui été accepté d'un "Tu l'écris, je le publie."

Mais, au cours des ans et des publications, ce qui m'a tenu le plus souvent lieu de message d'acceptation, c'est un courriel m'annonçant "Faudra changer le titre".

J'en ai ri, j'en ai grogné. Et puis, à la longue, j'ai accepté ma nullité titrale. J'éprouve même une certaine joie à entendre ces mots désormais. Surtout quand ils sont prononcés par un éditeur que j'admire et qu'ils couronnent cinq, ah non six maintenant, années de travail et d'attente!

Eh oui, mon roman policier devrait être (enfin) publié en 2022!!! (J'peux pas être plus précise pour le moment : le travail n'est pas terminé, rien n'est signé, tout peut changer, mais je voulais vous faire partager ma joie.)

Reste que bon... Faudra changer le titre. :p