Ma maison sera en reconstruction à partir de lundi, alors je ne sais pas de quoi aura l'air mon horaire.
Histoire d'épargner un peu ses oreilles, j'ai exceptionnellement envoyé la puce à la garderie toute la semaine. Pour ma part, je vais essayer de travailler, malgré le vacarme des outils et les nuages de poussière de plâtre.
Si je survis (les chances sont quand même bonnes), je planifie faire une apparition samedi et dimanche au Salon du livre de Trois-Rivières. J'y serai en compagnie d'Isa Lauzon, au kiosque des Six Brumes.
Passez nous voir! :)
6 commentaires:
Bon courage!
Et tu te dois d'ajouter des ouvriers de la construction en arrière-plan dans tout ce que tu écris cette semaine. :-)
@Alain : Je prends des notes pour des projets futurs... genre quand le mot "construction" arrêtera de me donner mal au cœur.
Parce que, évidemment, les ouvriers qui sont chez moi ces jours-ci commencent à voir des problèmes dans les autres travaux exécutés par le même entrepreneur pourri qui a mal installé mes puits de lumière.
La bourse Canada-Japon a déjà été dépensée, là on va commencer à taper dans le coussin qui devrait me permettre de ne pas retourner dans un boulot de 9 à 5. :( (Et/ou de faire visiter un peu le monde à ma puce)
Oh, tes assurances ne couvrent pas les travaux si je comprends bien? :( (on pourra en rejaser durant le trajet, c'est pas le temps qui va nous manquer!)
Bon courage, c'est tellement dégueu quand il y a des ouvriers dans la maison. Ça salit tout et on a l'impression de ne plus être chez nous. Dis-toi qu'après, quand tout sera fini, ce sera pour le mieux... Et en attendant, courage, courage! :P
@Isa : Mes assurances couvrent la majorité des frais (l'assèchement et la reconstruction, moins le déductible), mais pas tout (ils ne couvrent pas la réparation de la cause, donc un bon 3500$). Et comme l'un des ouvriers qui est là aujourd'hui pense avoir remarqué un autre problème potentiel, celui-là va être à nos frais (parce que l'assureur ne couvre pas la prévention, évidemment).
Enfin, au moins les ouvriers de cette semaine sont sympathiques. Si on me jurait qu'après ça le problème sera réglé pour toujours, je prendrais les choses avec plus de philosophie. Mais j'ai tellement peur que ça recoule l'hiver prochain! :'(
Je pense que les dégâts d’eau et les punaises de lit sont les deux problèmes domestiques qui peuvent le plus affecter la santé mentale.
@Femme libre : Oui (ou entk parmi les problèmes qui affectent le mental) et c'est normal : le besoin d'un toit où on se sent en sécurité et à l'abri, c'est à la base de la pyramide de Maslow.
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