Être historienne et écrivaine, c'est offrir à une collègue écrivaine une opinion informée et nuancée (avec références à l'appui) sur une époque donnée.
C'est se faire contredire par Jo-Blo qui a écrit un livre pseudo historique bourré de clichés approximativement situé à la même époque (et qui en profite pour vendre ledit livre).
C'est découvrir deux ans plus tard que la collègue a suivi l'opinion de Jo-Blo.
Pis c'est hausser les épaules avec fatalisme, parce que, hé, c'est pas la première fois que ça arrive. (Ouaip, l'histoire se répète.)
Dommage, avec les nuances, ça aurait fait une meilleure intrigue. :p
9 commentaires:
Héhé! Je vais tellement te demander les noms ce soir. :)
Et puis, nous, nous n'aurons pas droit aux noms... ;-(
@Vince: ;)
@Claude : En personne un moment donné, promis!
Les nuances, c'est tellement moins vendeur. J'ai l'impression que c'est partout pareil, pas seulement dans les romans... Il n'y a qu'à regarder le discours des politiciens, des journalistes, des gens...
Et moi, et moi, aurai-je droit aux noms en privé? (lolol)
À défaut de noms, on peut savoir de quel enjeu il était question? :O)
@Nomadesse : Malheureusement très vrai.
@Isa : Évidemment! T'as besoin de le demander?
@Daniel : Place des femmes et influence de la religion. C'est dur de faire comprendre aux gens que les idéaux prônés par les religieux (et même par certaines lois), ce n'était pas la réalité quotidienne mur à mur! Et que plusieurs périodes historiques ont été plus athées et féministes que, disons, le Québec de Duplessis!
Les nuances, c'est parfois vendeur, surtout quand c'est gris.
@M : Beurk! ;p
Enregistrer un commentaire