Blogue délaissé aujourd'hui pour cause de blogueuse a bobo.
Mal de ventre, encore. Pas très fort (quoique la douleur fait des pointes de temps à autre), mais usant. Le genre de douleur qui donne d'autant plus envie de se plaindre qu'on sait très bien qu'on va y survivre. (Et donc qu'on pourra s'excuser ensuite d'avoir été un gros bébé pleurnichard).
En attendant, le langage enfantin du titre reflète mon état d'esprit : j'ai juste envie de me rouler en boule au fond de mon lit et, comme quand j'étais petite et pas assez en forme pour aller à l'école, d'écouter des dessins animés toute la journée et de me faire apporter de la soupe poulet et nouilles ou du pudding au riz par quelqu'un qui en profiterait pour me flatter les cheveux et redresser mes oreillers.
Mais à la place, j'suis au boulot.
Vraiment poche la vie d'adulte des fois. Tu tiens encore debout? T'es pas contagieuse? Tu peux taper sur ton clavier et répondre au téléphone? Allez, hop, au travail! Les congés de maladie, ça pousse pas sur les arbres.
Vivement la fin de semaine. Et mon prochain rendez-vous médical!
Enfin, pour aider à patienter, y'a un super texte à lire chez l'Ermite.
23 commentaires:
Ouais, plate, ça...
Plate aussi d'être un adulte et de devoir se botter le derrière pour être productif même si on n'est pas au meilleur de sa forme... (je connais la chanson!)
Bon courage! :)
@Isa : Ouais, plate tout ça. Où sont les grand-mamans quand on aurait besoin d'elles pour nous gâter? (Réponse : la mienne est plutôt à l'âge de se faire materner)
Juste pour dire que je pense à toi! Bon courage!
@Annie : Merci. T'aurais pas de la soupe poulet et nouilles aussi? ;)
hon... courage. Je sais ce que c'est que d'avoir des douleurs abdominales sans savoir d'où elles viennent... :(
@Isabelle : Oh, je sais d'où elles viennent : du ventre! :p Mais sans blague, j'ai bien hâte de savoir, déjà, c'est quoi le problème.
Je te fais un gros câlin réconfortant virtuel! :)
@Luc : Merci, ça fait toujours du bien. :)
Prends bien soin de toi, Gen.
Sac magique télépathique sur ton ventre.
@Sébastien : Le vrai sac magique aide pas (quand on peut même plus compter sur la magie, ça va mal), ptêt que le télépathique va marcher. :)
Être adulte... c'est poche. Je me souviens d'une journée où j'ai dû rentrer au bureau alors que je faisais de la fièvre. Mais comme c'était la tombée et que personne ne pouvait me remplacer, je devais y être. C'était ridicule. Je me roulais en boule sous mon bureau entre les différentes approbations de page...
Enfin, je t'offre tout de même une soupe de malade virtuelle.
@Pierre-Luc : Ouaip, vive notre monde moderne où tout est pressé, où rien ne peut être repoussé, où il n'y a plus de dédoublement de poste et où les employeurs sont souvent réticents à nous accorder des journées de congé, même à nos frais. :(
Le pire : juste pour faire exprès, c'est mort au boulot aujourd'hui! J'aurais dû rester couchée.
Tiens, j'te prépare un bon chocolat chaud. Voilà des BD et quelques cookies. Je repasse te voir dans une heure. Oh, voilà une petite clochette, mais n'en abuse pas, hein? J'ai des chapitres à écrire, aussi!
@Pat : Dring dring dring! S'cuse, j'voulais juste voir si t'étais assez fou pour m'en donner une qui marchait vraiment... ;p
Je ne peux offrir d'autre qu'un peu de bonne lecture sur mon blogue aujourd'hui. Et demain, si tu vas pas mieux, tu vas rigoler avec le prochain texte...
Je me relis et je trouve que c'est à peine du français intelligible, mon affaire. Mais bof. On se comprend.
Les maux de ventre sont parfois bien mystérieux. Je te souhaite soit qu'on trouve l'origine du mal, qu'on traite et qu'on n'en parle plus soit que ça parte tout seul (ça arrive des fois!).
@Richard : Oui, oui, t'en fais pas, on se comprend! ;) (Snif, si c'est rigolo, ce sera pas le mien... Va falloir que j'achète le bouquin de Frédéric ça a l'air! ;)
@Femme libre : Comme ça fait quasiment deux ans que ça dure (toujours en augmentation), je pense que ça passera pas tout seul.
On est tellement bien quand on est bien, qu'on ne le sait même pas et tellement mal quand on est mal, mais là on le sait en titi. Il n'y a que ça. Et ne va pas me dire qu'en comparaison à des pires que toi, ton mal est moins grave, c'est pas vrai. L'important, c'est de tenir ton imagination à distance.
J'voudrais un papa comme Pat. Puis-je te l'emprunter, certains jours?
@ClaudeL : Mais c'est vrai qu'il y a des pires que moi! (Entk, j'espère, puisqu'on sait toujours pas ce que j'ai). Là c'est juste que la douleur est présente depuis tellement longtemps que j'ai plus d'énergie et je déprime.
Pour Pat, je suppose qu'il faudrait que tu demandes à Fiston. Mais ça paraît qu'il a de l'expérience en "réconfort 101", hein?
Câlin virtuel. C'est pas parce qu'on sait qu'on survivra qu'on se sent mieux. Demain, c'est vendredi: la journée idéale pour rester couché en boule sous les couvertures. J'espère qu'ils finiront par mettre le doigt sur le bobo et t'en débarrasser.
@Caro : J'espère aussi! En attendant, j'suis au bureau. J'ai moins mal et s'ils trouvent le bobo, quelque chose me dit que je vais avoir besoin de mes congés...
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