Dormir dans un vrai lit.
S'asseoir à une table.
Manger un repas préparé pour nous avec amour.
S'échouer sur un sofa moelleux.
Serrer ceux qu'on aime dans nos bras.
Prendre le temps de respirer profondément.
Et parfois, quand on réussit à renouer avec ces plaisirs simples, on se met à pleurer les mois où ils étaient absents, les semaines de fatigue et d'inconfort et d'incertitude. Le remède à ces larmes? Continuer d'apprécier à fond ces douceurs retrouvées.
Le reste, comme les billets de blogue fouillés, attendra.
Repos et guérison en cours, de retour bientôt |
3 commentaires:
«Prendre quelqu'un dans ses bras» :'(
(Un jour, un jour!)
@Prospéryne : on s'entend que pour le moment ça se limite à ma fille et mon chum,mais je comprends ta douleur, pauvre amie.
Câlin, Mariane.
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