Ouais! Je suis de retour! :)
J'suis arrivée en bus à Montréal hier soir. J'ai ensuite pris un métro pour me rendre sur la Rive-Sud, puis mon chéri est venu me chercher pour me ramener jusque chez moi. Aujourd'hui, je me suis fait porter pâle au boulot. J'en profite pour me coller contre mon chum, dont c'est le tour d'être en vacances. J'suis crevée, mes bagages sont pas défaits et je carbure au café... ça a été une super expérience cet atelier!!! :)
Si j'arrive à rassembler suffisamment d'énergie (et à me décoller de mon chum!), je vais répondre à mes courriels et puis faire un ou des billets pour vous raconter un peu l'atelier. Si je m'écroule de fatigue, vous aurez une critique de roman...
Pour ceux qui s'inquièteraient, mais non, c'est pas compliqué de faire plaisir à Élisabeth...
6 commentaires:
HAHAHAHA! Bon retour et repose-toi un peu!
La photo, c'est pour faire plaisir à Elisabeth? ça fait un an que je réclame à cor et à cri des photos, mais elle, en cinq jours, elle a réussi!!!
Je parle peut-être pour ne rien dire, peut-être pas rapport du tout!
C'est évidemment une blague, je te lis pour tes mots et non pour les (non) photos. C'est que je suis un peu fru: sur mon blogue, des beaux billets, sérieux, avec liens et tout, et pas ou peu de commentaires. Je mets une photo d'orignaux avec une toute petite légende et me voilà avec des commentaires autant sur mon blogue que sur Facebook...
Bon, devrais peut-être aller me recoucher moi aussi!
@Isa : Je savais que tu l'aimerais celle-là! ;)
@ClaudeL : Non, la photo était pas pour faire plaisir à Élisabeth, c'était pour donner une idée des acrobaties (littéraires normalement) qu'elle nous demande de faire! lolol!
Je n'aime pas tellement prendre des photos et j'haïs encore plus me faire prendre en photo, de là le peu de contenu visuel du blogue ;)
Et en plus, comme tu as remarqué, le visuel attire souvent des tonnes de gens qui ne nous lisent pas normalement.
Tu as bien raison et puis, pour qui veut publier des livres, aussi bien s'habituer à être lue pour les mots!
Au strict point de vue littéraire, je soupçonne que c'est plus facile de «faire plaisir» à Élisabeth que ça l'était voilà trente ans... :O)
@Daniel : Ou alors elle exprime moins durement sa déception et son mécontentement ;)
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