Ok, une maudite chance que la Bibitte est achetée, parce que je vais avoir besoin de plusieurs cafés grands formats pour passer à travers la journée! (et la semaine) La fin de semaine passée à Québec a été super intéressante, mais assez intense merci. Mettons que j'y ai absorbé beaucoup de nourriture intellectuelle, mais très peu d'autres nutriments (je ne supporte plus la bouffe de resto on dirait...) et pas tellement de sommeil non plus (note à moi-même : dans l'expression "confort rudimentaire", le mot important est "rudimentaire").
Je vais me risquer à essayer de nommer non pas toutes les personnes qui étaient là, mais en tout cas toutes celles à qui j'ai parlé et dont j'ai retenu au moins le prénom (et là je sais que je vais en oublier, alors je suis déjà désolée). J'ai donc jasé avec : Ariane Gélinas, Frédéric Durand (dont je dois lire un roman), Carmélie Jacob, Guillaume Voisine, David Hébert, Geneviève Fournier-Goulet, Sabrina et Benjamin (dont je sais plus les noms de famille), Alamo (dont je ne sais pas s'il m'a volé des cheveux pour avoir un échantillon d'ADN), Pat Isabelle, François-Bernard Tremblay (à qui j'ai parlé d'un texte qu'il faudrait que j'écrive en deux semaines...), Philippe-Aubert Côté, Pascale Raud, Joël Champetier (beaucoup moins intimidant une fois revêtu d'un costume taillé dans des draps de Star Wars), Éric Gauthier, Daniel Sernine (qui pense pouvoir retrouver sa lettre qui m'avait tant fait pleurer quand j'étais ado... ouch, pas sûre que j'ai envie de réaliser à quel point j'étais bébé à l'époque), Guillaume Houle (qui m'a dit de le relancer... pauvre lui!), Jonathan Reynolds, Émilie C. Lévesque (que j'ai pas oubliée de nommer cette fois), Pierre H. Charron et sa Chantale, Benoit Bourdeau, Dave Côté (ainsi que sa copine... et leur bébé qui s'est parfois chargé du bruitage, mais on lui pardonne étant donné que c'est un futur lecteur de SFF), Sybiline, Pierre Chartray (aka l'éditeur mystère), Pierre-Luc Lafrance, Carl Rocheleau (je ne sais pas si je dois lire sa nouvelle ou son roman en premier), Alain Bergeron (je suis sûre que la fille qui a dit que les uchronies étaient faciles pour un historien n'est pas historienne elle-même)... Éric Gauthier, Christian Sauvé et Dominique Bellavance étaient là, mais je sais plus si je leur ai vraiment parlé...
(et, non, il est pas question que je mette les liens vers les blogues ou site de tous ces gens...)
Sans oublier finalement Isa Lauzon, Richard Tremblay, Frédéric Raymond et David Hébert, quatre bonnes âmes qui m'ont non seulement jasé, mais qui ont aussi trimballé la parasite piétonne que je suis! :) Merci pour les lifts!
Ce que je retiens de ma fin de semaine, c'est que les discussions les plus trippantes ont souvent eu lieu autour des repas ou des tables de vente et que j'ai parfois eu l'impression que les conférences servaient à semer des germes de discussion plus qu'autre chose... mais on m'a dit que c'était normal et je ne peux pas dire que j'ai trouvé ça désagréable de toute façon. ;p
Je pense que ce petit bain dans le milieu de la science-fiction-fantastique-fantasy m'a donné encore plus de motivation à plancher sur mes projets. :) J'ai déjà hâte à l'an prochain et vous?
Addendum
Sauf que j'espère que le Boréal se tiendra à Montréal l'an prochain, parce que je me suis ennuyée de mon chum!!! D'ailleurs, comme j'écris ce billet le dimanche soir au retour, je vous laisse et je m'en vais me coller contre lui... ;)
Re-addendum
Ah selon Fractale Framboise, il semble bien que le prochain Boréal sera à Montréal. Ça va m'éviter de dormir dans les résidences universitaires. Ouf!
Re-re-addendum
Oui, la fille qui a dit qu'une uchronie était facile pour les historiens est bien historienne... Mais c'est une contemporainiste (une historienne du 19e et 20e siècle) spécialisée en histoire du Québec et de l'Acadie... Je les ai toujours trouvé bizarres ceux-là ;p
35 commentaires:
Mets-en, que j'ai hâte à l'an prochain! De mon côté, super contente de mon Boréal, même si je n'ai pu y être que le samedi en après-midi. Et je dois dire que le trajet Montréal-Québec ne m'a jamais paru aussi court qu'en ta compagnie! MDR!!!
Je suis comme toi, gonflée à bloc et la tête remplie de projets. Je m'y mets d'ailleurs dès ce matin!
@Isa : En effet, c'est vraiment pas long Montréal-Québec ;) Je regrette de pas avoir fait le retour avec toi juste pour ça : me semble qu'on avait vraiment pas fini de jaser! hihihihi
Cela dit, les panels les plus intéressants étaient le dimanche matin, alors comme j'avais la chance de pouvoir rester (grâce à Richard), j'en ai profité.
Et ce matin, je suis pas gonflée à bloc du tout. Ce serait plutôt "ronfler" dans mon cas... et faut que je bosse en plus!
Bon retour dans vos pantoufles et contente de vous retrouver (doublement puisque les deux dernières semaines étais plutôt dans le Maine)
Gen, ta parenthèse sur les liens m'a fait sourire. Je me disais justement...
@ClaudeL : ceux qui ont des blogues sont presque tous dans mon blogroll ;)
Et contente de te retrouver aussi! :) Bon retour du Maine!
Je suis tellement triste de ne pas avoir pu assister aux panels du dimanche! Ça avait l'air super intéressant... Quand le Boréal sera à Montréal, je tâcherai d'y aller plutôt le dimanche (samedi ET dimanche, dans mon cas, ça relèverait plutôt du miracle, mais on peut toujours rêver! hihi!).
Bien contente pour toi que tu aies profité du dimanche aussi... et bien contente de t'y avoir poussée! Je suis bonne là-dedans, moi, donner des coups de pied dans le derrière. Je suis sûre que tu ne l'as pas regretté... et que ton chum a doublement apprécié ton retour! Une chance pareille, il ne fallait pas que tu la laisses passer!
Et non, on n'avait pas du tout fini notre jasette : en fait, je ne crois pas qu'une vie aurait suffi! Dommage que nous soyons toutes deux séparées par l'île de Montréal. Entre la rive sud et rive nord, ça fait pas mal de kilomètres... Et vive le Web!
@Isa : Oui, vive le web! :) Mais je t'avais promis de te résumer les panels et je vais le faire. J'ai pris des notes extensives grâce à Bibitte, alors je te les enverrai.
... et c'est vrai que t'es bonne pour donner des coups de pied au derrière! hihihihi
@Gen Pas de problème pour les lifts! Ça m'a fait très plaisir de te rencontrer!
@Fred : C'était vraiment le fun en effet :) Bien hâte de lire le projet top secret ;)
Au fait j'ai perdu l'échantillon de cheveux... Pourrais-tu m'en renvoyer par la poste?
Et, c'était agréable de faire ta connaissance dans la réalité, plutôt que de dire des blagues à une entière inconnue sur le web. Maitenant je pourrai me justifier et moins me morfondres... ;)
@Alamo : J'pense que faudrait que tu en discutes avec Vincent... ;p
En effet, c'est toujours plus drôle de déconner une fois qu'on connaît la personne. :p Cela dit, "te justifier et moins te morfondre"...? Je pige pas (est-ce mieux ainsi? ;)
Content de t'avoir rencontré et à la prochaine!
@Benoit : Moi de même! :)
Ah, j'ai une bien grande gueule et souvent je dis des trucs sans réfléchir aux conséquences... ;) C'était pourquoi j'ai dis "me morfondre" héhé.
@Alamo : Ok, alors maintenant tu sais que je prends vraiment tout en riant et que tu n'as plus à t'en faire ;)
On a même parler de MMA:)
Le retour a été plaisant et constructif.
À la prochaine.
parlé, dis-je.
En fait j'ai beaucoup parlé de MMA avec plein de monde il me semble... ah ouais, peut-être parce que j'en parle tout le temps... :p
Mais oui, ça a été le fun d'avoir un complice pour apprendre à Richard l'histoire des Gracie et la théorie des takedown ;)
Pour moi aussi, ce fut un plaisir de te rencontrer. On t'a qualifié de verbomoeur. C'est sans doute vrai. Mais je retiens surtout que tu as le rire - très - facile.
@Pierre-Luc : Ah ben merci d'avoir remarqué le rire :p Ça me donne l'impression de pas juste être une grande gueule! hihihi
Ma vision de la vie : ça sert à rien la prendre trop au sérieux : de toute façon on s'en sort pas vivant ;) Alors vaut mieux en rire que d'en pleurer.
C'était le fun de te rencontrer. Quand j'aurai renfloué le porte-feuille, faudra que tu me suggères l'un de tes bouquins! :)
J'ai retrouvé la lettre, Geneviève (mais pas le résumé; peut-être n'en avais-je pas fait). Très factuelle, pleine d'égards, exempte de cruauté... (sauf que je te souhaitais bonne année 2007 à la fin, lol!)
Ouaip, tu étais vraiment bébé à l'époque :O)
Je ne me rappelle sincèrement rien de Piège informatique mais, si je me fie à mes remarques écrites, c'était poche, pas à peu près ;O)
Pleures-tu, là?
@Daniel : Non, je pleure pas. ;) Comme je disais à Pierre-Luc, j'ai adopté l'attitude "Mieux vaut en rire que d'en pleurer"... et j'ai découvert que ma propre personne est une source inépuisable d'amusement :p (paraît que c'est sain de rire de soi)
"Piège informatique"!?!?! C'était ça mon titre! Mouahahahahaha! C'est ben mauvais!
Cette histoire est bien la preuve qu'à 14 ans j'étais pas prête à écrire (j'allais écrire "qu'un ado de 14 ans est pas prêt à écrire, mais je veux pas généraliser, puisqu'on a convenu que j'étais bébé...)
Pourquoi me souhaitais-tu bonne année 2007?
Content de t'avoir revu...même si on ne s'est pas jasé longtemps...Au fait ton voisin de chambre dans la nuit de Samedi ta peut-être plus jasé que moi ;)
On s'est au moins dit bonjour... en attendant la prochaine fois!
La lettre était datée de janvier 2007, alors je formulais le souhait d'usage.
Je ne peux pas croire que je faisais de l'ironie, pas envers une «fillette» de 14 ans... :O)
@Pierre : lol! En effet, on s'est pas jasé beaucoup. Je crois que c'est parce que j'ai passé beaucoup de temps avec la gang de Brins d'éternité (que j'avais pas vu en personne ou presque, même si je travaille désormais avec eux). On se reprendra! :) (de toute façon, on se parle tous les jours! hihihihi ;)
@Christian : En effet, on se reprendra! :)
@Daniel : La lettre ne datant pas vraiment de 2007, ma perplexité reste entière... À moins que... j'ai une vague réminescence : le texte aurait-il été situé cette année-là? (Soit dix ans environ après sa date de rédaction). Auquel cas, oui, tu es pris en flagrant délit d'ironie ;p
Très comique quand même de renouer avec cette histoire! lol! Merci d'avoir pris la peine de chercher!
(Si la lettre est en format électronique, peux-tu me l'envoyer? genevieve_blouin@hotmail.com Sinon, tu pourras me faire chanter au prochain Boréal en me menaçant de la lire en public... mais ça c'est à tes risques et périls! hihihihi)
Le pire dans toute cette histoire c'est que je sais plus pantoute ce que le texte racontait. Évidemment, après ma crise de larmes il avait pris le chemin de la corbeille (réelle et virtuelle).
Hé qu'on est mélodramatique à l'adolescence! :p
Je voulais dire 1997!
Tu sais, à nos âges de Grands Anciens, c'est la vigilance qui défaille la première.
Je t'envoie la lettre séparément...
Depuis le temps que tu en parles de cette lettre... j'espère que tu vas la partager avec nous, Geneviève.
On veut brailler nous autres aussi ;-)
Vous risquez de ne pas pleurer pour les mêmes raisons qu'elle à l'époque... :O)
@Richard : Dès que j'ai cinq minutes, je vous fais un billet là-dessus, avec extraits.
@Daniel : De fait, ils (encore) pleurer de rire en se foutant de ma gueule. Mais bon, quand on vaut pas une risette... ;p
Bienvenue dans la peau d'un habitant de Québec : voyager est indispensable depuis des années pour assister au congrès Boréal. Et trouver un hôtel aussi. Mais le plaisir renouvelé de voir du monde m'a toujours largement compensé les frais du voyage ! :) Alors cette année, on vous a invités chez nous et bien contente que des montréalais n'aient pas snobé le congrès pour autant. :)
Quant au fait d'être avec son chum tout le temps, je sais que pour moi c'est important d'avoir du temps à deux et du temps à soi dans de bonnes proportions ;)
Au plaisir de te rencontrer à un futur congrès, j'ai encore raté trop de monde !
Lily
@Lily : En effet, au plaisir de se saluer la prochaine fois (je crois t'avoir aperçue de loin...) Et non, les Montréalais n'allaient pas snober le congrès même s'il était à Québec... mais comme c'était mon premier congrès, ça m'a fait beaucoup d'adaptation à encaisser à la fois.
Pour ce qui est du temps à soi plutôt qu'à deux : dans la journée je suis parfaitement pour l'indépendance, mais quand c'est l'heure du dodo, j'aime bien m'endormir dans les bras de mon chéri. Cela dit, j'ai déjà admis que j'étais bébé/dépendante/etc ;p
plutôt que bébé et dépendante, je dirai simplement amoureuse, non ? ;)
au plaisir !
Amoureuse? Très, toujours, beaucoup, autant qu'au premier jour ;) Tu as mis le doigt sur la faille de mon armure ;)
Au plaisir!
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