Pendant que je travaille comme une folle (enfin, quand le rhume m'en laisse le loisir) sur un million de projets qui n'aboutiront que dans un an ou deux, ma liste de publications à venir restait vide (parce que je ne veux pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, tanné et taillé pour en faire un manteau), ce qui me déprimait.
C'est alors que j'ai eu un flash. J'avais une nouvelle qui traînait dans mes tiroirs. C'est plutôt rare : mes tiroirs ont tendance à se vider aussi vite qu'ils se remplissent. (Et ce qui y traîne après un an ou deux n'est généralement pas publiable). Mais ce texte-là, il avait du potentiel et pourtant je l'avais complètement oublié.
Je l'avais distribué, voyez-vous, à ceux qui avaient acheté Le Chasseur en prévente, en déboursant un petit supplément. En tout, une vingtaine de personnes l'ont lu. Et ça date d'il y a déjà trois ans.
J'ai repris le texte, je l'ai relu. Et j'ai trouvé qu'il méritait une deuxième vie.
Je l'ai envoyé à la revue Alibis et ils me confirment qu'ils vont le prendre.
Yé! :)
Mine de rien, ça faisait un petit bout de temps que je n'avais pas reçu un courriel d'acceptation (mes derniers textes publiés m'ayant été commandés). J'avais oublié à quel point ça ensoleille une journée! :D
3 commentaires:
Génial! Tu sais déjà dans quel no. ton texte va être publié?
C'est une bonne nouvelle ça! :D
@Luc : Non, aucune idée. Probablement pas le prochain, mais ptêt celui d'après.
@Prospéryne : En effet! :)
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