Je viens de lire un enième article sur la dernière réforme de l'éducation et cela m'inspire une réflexion...
Un pédophile abuse et détruit un enfant à la fois.
Un pédagogue, lui, fourre toute une génération en même temps!
C'est pas politiquement correct de dire ça, mais maudit que ça fait du bien! hihihihihi ;)
J'ai abandonné mes études en enseignement de l'histoire au secondaire pour tout un tas de bonnes et mauvaises raison.
RépondreSupprimerCelle-là en fait partie.
On pourrait en parler longtemps des abberations de la réforme...
Lol. Tu possèdes définitivement l'art du titre, Gen. Je m'attendais à pire. On sent ton petit côté auteure machiavélique. ;)
RépondreSupprimerN'empêche, ta réflexion mériterait sans mal la première place parmi les citations du jour.
@Pat : Moi j'ai abandonné une carrière en enseignement pour un ensemble de raisons... dont celle-là! (Ah? Un collègue historien? ;)
RépondreSupprimer@Karuna : lol! Je voulais pas entendre personne pousser les hauts cris, alors j'ai prévenu d'avance! :p
Et non, j'ai pas l'art du titre. "La lignée du sabre"... j'suis toujours pas sûre...
Le fil du sabre ?
RépondreSupprimer@Richard : Je ferai ptêt un appel à tous, assorti d'un résumé, quand on sera rendu à l'étape de nommer définitivement le roman...
RépondreSupprimer"Le fil du sabre" donne trop l'impression "sur la corde raide", alors que c'est pas le cas... :S
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RépondreSupprimerJ'avais répondu quelque chose d'insensé en deuxième partie de commentaire. Je réitère la première: le sabre ne porte pas de nom? Si oui, pourquoi ne pas donner le nom du sabre comme titre? Je trouverais ça intriguant, élégant et sympa à la fois, moi! ;)
RépondreSupprimer@Alamo: Il n'y a pas de sabre central, pas de Masamune, de Murasame ou de Muramasa dans ce bouquin. ;)
RépondreSupprimerJ'ai un doute moi aussi sur le titre.
RépondreSupprimerDur à mettre le doigt dessus, mais quelque chose ne fonctionne pas.
Je continue à réfléchir à ça.
@Vincent: hahaha n'empêche que là tu tombe dans le cliché Japonnais, mais me semble qu'une arme sans nom c'est comme "sale"... Ça sert juste à tuer, m'enfin, c'est moi qui suis trop habitué à lire de la fantasy aussi... :p
RépondreSupprimer@Alamo : Un sabre n'avait pas nécessairement un nom. Seules les plus grandes lames en avaient un.
RépondreSupprimerLes sabres dont il est question dans cette histoire sont jeunes.
... tu viens de me donner une idée par contre! :)
"Hanaken, la lignée du sabre", ça sonne comment? (Hanaken étant le nom de famille des personnages principaux)
Hum!
RépondreSupprimerJ'aime.
Beaucoup plus punché.
À considérer sérieusement.
@Pat : :D
RépondreSupprimerEt là, l'avantage c'est que le tome II pourra s'appeler "Hanaken, la..." J'vous le dis pas! :p
RépondreSupprimerHum... Sauf que je me ramasse un peu dans le pattern des titres des Intouchables, non?
Hé, galère, j'ai pas fini...
J'peux avoir un remerciement en quatrième de couverture pour t'avoir inspiré le titre? LOL :p
RépondreSupprimerUn simple remerciement, Alamo ? Peuh ! Moi je demanderais d'être co-auteur, rien de moins !
RépondreSupprimerOuin avec un titre comme celui de ton billet On pourrait croire que tu pourrais signer le titre du prochain Coup de têtes: Contre l'État ;)
RépondreSupprimerHeineken, le sabre saoul.
RépondreSupprimer@Alamo : Hum... j'vais y penser
RépondreSupprimer@Guillaume : Aïlle, si je refuse ça à mon chum (alors que sur certains textes il le mériterait), pour un titre on est loin du compte ;p
@Pierre : lololol!
@Fred : Ça y est, je te déteste officiellement!!!
@Gen Fiew, la réalité peut être différente de la version officielle...
RépondreSupprimer;p
RépondreSupprimerJe confirme vos pires craintes : j'enseigne depuis 2005 et je vous jure que beaucoup de profs baissent leurs critères (surtout des profs pour qui on a baissé les critères afin qu'ils réussissent leur BAC en enseignement).
RépondreSupprimerNotre système scolaire est pareil à l'engouement pour Paris Hilton; plus ça va, pire c'est.
@Carl : Je ne suis pas surprise. Mon année d'enseignement, je l'ai passée à me faire dire de monter mes moyennes et d'être plus sévère dans ma correction. Y'a quelqu'un qui avait pas fait les mêmes math que moi...
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